Il m’est arrivé à plusieurs reprises de m’entendre dire la chose suivante : « psychothérapie relationnelle, c’est un pléonasme ». Et en l’occurrence, on pourrait le souhaiter, mais la réalité du marché psy est différente et si l’on peut – comme chez Molière – pratiquer la psychothérapie relationnelle sans le savoir, il ne suffit pas d’étiqueter relationnelle une pratique psychothérapique pour qu’elle le soit ou le devienne.